ORNITHO PHOTOS

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INFORMATIONS OISEAUX 2013


Le dérangement d'espèces sensibles

C’est un réel plaisir, pour le naturaliste, que de fixer sur sa pellicule ou sur son disque dur, les images de la Nature.  Les images les plus belles possibles.  Le problème est qu’il faut pouvoir s’approcher très près de l’animal à photographier.

 

Or, une des grandes règles déontologiques, à respecter quand on veut observer et photographier des animaux, est de ne pas les déranger.

 

Pour y arriver, le photographe animalier doit faire preuve de beaucoup de patience.  Certains restent en attente durant des heures, immobiles sous un camouflage, pour réaliser - avec un peu de chance - « la » bonne photo de l’année.

Il faut aussi un bon matériel photographique.  Il existe un très grand choix d’appareils et d’objectifs, plus ou moins performants, à choisir en fonction du genre de photos à réaliser.  Les téléobjectifs, avec ou sans zoom et les longues vue, munies d’un appareil photographique, permettent de s’approcher de sa cible sans l’inquiéter.

 

Bien sûr, chacun voudrait réaliser une photo extraordinaire, avec le plus de détails.  Cela mène parfois certains photographes peu consciencieux et sans connaissance naturaliste à s’approcher parfois trop près de certaines espèces « sensibles » et les déranger au point de les faire fuir.

Ce dérangement, et l’abandon du nid, peut être fatal à certaines espèces, en période de nidification.  Ce dérangement constitue une infraction punissable par le loi.

 

On a vu des alpinistes amateurs grimper le long de parois rocheuses, pour le simple plaisir de surprendre un Pygargue à queue blanche sur son nid.

 

Il en est de même pour d’autres espèces « sensibles », somme la Cigogne noire qui niche parfois dans nos régions.

C’est ainsi que, en mai 2011, un couple de cigognes noires est repéré dans le département de la Meuse, dans un périmètre classé Natura 2000.  Les cigognes procédaient à la construction de leur nid.  Malgré la discrétion des découvreurs, un photographe amateur peu consciencieux a repéré les Cigognes noires et leur nid.  Pendant cinq jours, il les a traquées, faisant des dizaines de photos à quelques mètres des oiseaux, ce qui a provoqué l'abandon du nid.

Heureusement, le photographe a été repéré par un habitant du coin qui a relevé l’immatriculation du véhicule.  Une plainte a été déposée contre le photographe qui a été condamné le 11 septembre 2012 par le Tribunal de police de Verdun (Meuse) à 200 euros d'amende et 2 fois 100 euros de dommages et intérêts à verser à la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) et l'Association pour le Protection des Animaux (ASPAS), partie civile dans cette affaire.

 

Cette décision est importante car elle permet de rappeler l'importance de ne pas perturber les espèces, surtout des oiseaux « sensibles » comme la cigogne noire, notamment à proximité de leurs habitats de reproduction.

 

(D’après une information du naturaliste Frédéric Malher  et de la revue France-Nature Environnement

 

Jacques

8 mars 2013

 


08/03/2013
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Quelques comportements peu connus de la Foulque macroule

Quelques comportements peu connus de la Foulque macroule

La Foulque macroule n'est pas seulement ce sympathique oiseau herbivore familier de nos étangs et de nos lacs.  Il peut consommer des petits poissons, ou des sauterelles                      

Quelques comportements peu connus de la Foulque macroule

Foulque d'Amérique (Fulica americana) ayant volé un poisson à un Fuligule à tête rouge (Aythya americana), Illinois (Etats-Unis).  Photographie Peter Chromick / Chromik's Photos

 

 

La Foulque macroule (Fulica atra) est un oiseau commun des lacs et des étangs d'Europe.  Elle est entièrement noire, avec un bec et une plaque frontale blancs.  Les poussins de Foulques sont noirs avec une collerette rouge-orange.

 

 

Mais la Foulque n'est pas uniquement ce sympathique Rallidé herbivore facile à observer.

En fait, une étude du contenu de leurs estomacs, effectuée en différentes régions de Grande-Bretagne a permis de constater que les matières végétales représentaient 84 % du total ingéré.

La Foulque n'hésite pas à manger d'autres nourritures, en particulier de pain, jetée par les promeneurs.  Elle peut aussi être insectivore, et consommer des larves d’insectes (mouches, odonates, lépidoptères, coléoptères) et des vers, mais aussi des œufs de poissons et de grenouilles.  Elle consomme même parfois des petits mammifères et des mollusques.  L'introduction de la Moule zébrée dans le lac Léman a entraîné une forte augmentation du nombre de Foulques hivernantes.

On a observé des Foulques mangeant un poisson mort sur le lac de la Cassière, dans la commune d'Aydat (Puy-de-Dôme).

Durant la période de reproduction, les Foulques macroules deviennent très agressives, surtout après la construction du nid, et les combats entre congénères sont fréquents.  Ces attaques sont généralement le fait d'oiseaux nicheurs, mais elle peut aussi concerner des oiseaux isolés.  Sous l'influence des hormones, certains individus peuvent même adopter des comportements destructeurs envers d'autres espèce avec lesquelles il n'y pourtant aucune compétition potentielle.  Une foulque a ainsi été vue en Italie détruisant à deux reprises des oeufs d'Echasses blanches (Himantopus himantopus).

La foulque est prévoyante : quelques jours avant la construction du nid principal, où seront pondus les oeufs, le couple construit généralement un autre nid plus basique, plat, sans dépression à son sommet, constitué de brindilles et de roseaux, souvent attaché à un buisson.  En cas de catastrophe (inondation), il peut être complété rapidement et servir de nid de remplacement. Ce comportement semble assez répandu.

Les poussins naissent souvent de façon échelonnée, et les aînés sont souvent favorisés par les parents.  Ils savent aussi asseoir leur autorité.  Les poussins qui essaient de manger plus que prévu sont secoués de façon très violente par les ainés.

En dehors de la période de nidification, les foulques sont très sociables, mais pas toujours très "correctes" entre elles.

Le kleptoparasitisme (le vol de nourriture prise par une autre individu) est en effet relativement répandu.  Les voleurs de nourriture agissent généralement peu après que la victime est remontée à la surface avec sa nourriture dans le bec et juste avant qu'elle l'avale.  Les individus ciblés résistent rarement.  Le taux de succès des kleptoparasites est très élevé (environ 85 %).

Les oiseaux qui ont choisi d'adopter un tel comportement alternent généralement vols et recherche de nourriture.  Les foulques régulièrement harcelées finissent par récolter de moins en moins de nourriture à chaque plongée, en laissant ainsi une plus grande quantité aux voleurs.

 

Les foulques sont également elles-mêmes victimes de vols de nourriture, en particulier de la part d’Anatidés, que l'on croit plutôt placides.  Deux espèces de canards sont connues pour pratiquer le kleptoparasitisme : le Canard chipeau (Anas strepera) et le Canard siffleur (Anas americana).  Ils parasitent fréquemment la Foulque d'Amérique (Fulica americana) et la Foulque noire.

Ce comportement peut constituer une technique alternative de nourrissage.

 

Combat de Foulques macroules (Fulica atra)

Foulque macroule (Fulica atra) se battant, Vosges (88).  Photographie Jilian Godel

 

Foulque macroule (Fulica atra) nourrissant ses poussins avec une sauterelle ou un criquet

Foulque macroule (Fulica atra) nourrissant ses poussins avec une sauterelle ou un criquet, baie de Somme (80).Photographie Pascal Bécue

 

 

Adapté du site d’Ornithomédia, que je vous suggère de consulter.

http://www.ornithomedia.com/breves/quelques-comportements-peu-connus-foulque-macroule-00967.html

Le retour de la Foulque caronculée dans la province de Grenade

A lire sur le web :

Le site web de Peter Chromik : http://chromik.smugmug.com

Sources de ce dosier.

 

Avez-vous fait de telles observations concernant les Foulques, ou autres oiseaux ?   Faites m'en part !  Je vous attends.

 

Bonnes observations

Jacques

Le 24 octobre 2013

 


24/10/2013
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L'écureuil et le rapace

L’écureuil et le rapace

 

Comme d’autres animaux, les Écureuils gris (Sciurus carolinensis) ont des systèmes d'alarme spécifiques pour signaler l'arrivée d'un rapace ou d’un prédateur terrestre.

 

La communication joue un rôle essentiel chez les animaux, entre autres pour échapper aux prédateurs.

 

C’est le cas, entre autres, de l'Écureuil gris américain (Sciurus carolinensis), qui dispose d'un système d'alarme spécifique pour signaler l'arrivée de rapaces.  Ces derniers sont nombreux sur les territoires occupés par ces rongeurs arboricoles : l’Autour des palombes (Accipiter gentilis), l’Epervier de Cooper (Accipiter cooperi) ou la Buse à queue rousse (Buteo jamaicensis).

 

Un biologiste américain, Peter A. Bednekoff, a étudié le système d‘alarme de l’Ecureuil gris et il a découvert que ses signaux d’alarme multimodaux contenaient des informations sur les types de prédateurs, et notamment s’ils sont aériens ou terrestres.

Il s’est intéressé en particulier à deux catégories de signaux, vocaux et transmis par les mouvements de sa queue, et il a constaté qu’elles étaient liées au type de menace.

 

Parmi ses trois principaux cris d’alarme des gémissements indiqueraient plutôt la présence de prédateurs aériens comme les rapaces.

Les signaux sonores ("kuk !" et "quaaas !"), serviraient à signaler la présence de prédateurs terrestres, comme les mustélidés, les moufettes, les ratons-laveurs ou les serpents.

Parmi les mouvements de la queue, les agitations frénétiques ("flicking") indiquent qu’un prédateur terrestre est dans le voisinage.

Ces alarmes provoquent l'adoption d'un comportement d’alerte et les réactions sonores d’autres espèces voisines.

L’Ecureuil gris peut aussi, un peu comme les lézards, perdre un bout de sa queue pour échapper à un prédateur.

 

Les Ecureuils gris disposent donc d’un système d’alarme multimodal (voix, mouvements de la queue) contenant des informations spécifiques sur les types de prédateurs.  Ces signaux sont compris par d’autres espèces.

 

Comme chez beaucoup d’animaux, la recherche d’eau et de nourriture, ou le nourrissage des jeunes, constituent des moments critiques, aux cours desquels la vigilance est moindre et donc le risque de prédation plus élevé.

 

Des chercheurs ont observé que les Ecureuils gris étaient plus vigilants, et se déplaçaient vers un endroit avec une vue plus dégagée avant de manger des aliments riches en énergie, qui « valent le coup » de faire cet effort.  Par contre, ils restaient sous couvert pour manger de petites graines, comme les graines de tournesol.

 

 

Cet article est adapté d’un article du site Ornithomedia, que je vous suggère de consulter.

 

http://www.ornithomedia.com/breves/ecureuils-gris-ont-systeme-alarme-specifique-pour-signaler-arrivee-rapace-00756.html

 

 

Jacques

Le 18 octobre 2013

 


18/10/2013
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Les ailes des hirondelles

Les ailes des hirondelles

 

Selon une nouvelle étude américaine, certains oiseaux pourraient avoir évolué, pour éviter d'être percutés par des voitures, en modifiant certaines de leurs caractéristiques telles que la taille de leurs ailes.

 

Les hirondelles ont sillonné nos étangs et prairies !  Elles ont, faute d’insectes, entamé leur long voyage vers leurs lieux d’hivernage en Afrique.  Elles nous reviendront, annonçant le printemps !!

 

Leur absence n’empêche pas d’étudier le comportement en vol de ces hirondelles.

 

Chaque année, des milliers d'oiseaux meurent ou sont blessés après avoir été percutés par le pare-brise d'une voiture.  Ces incidents constituent, avec l'intensification du trafic routier, une véritable menace pour la survie des oiseaux.

Mais il semblerait que la Nature ait décidé de venir leur en aide.

C'est du moins ce que suggère une nouvelle étude américaine, publiée dans la revue Current Biology  (http://www.cell.com/current-biology/fulltext/S0960-9822(13)00194-2)

 

Celle-ci estime que les oiseaux ont peut-être évolué rapidement pour éviter ce genre de collision.

Pour en arriver là, Charles Brown de l'Université de Tulsa en Oklahoma et ses collègues ont étudié pendant plusieurs décennies plusieurs espèces d’hirundinidés appartenant au genre Petrochelidon.

Ce sont des oiseaux sociaux, qui forment des colonies, et ont tendance à installer leur nid près des routes ou des voies de chemin de fer.

Afin de satisfaire sa passion pour la taxidermie, Charles Brown a collecté pendant de nombreuses années les carcasses de ces oiseaux ramassées après avoir été percutées par des voitures et dont il étudiait méticuleusement ses caractéristiques.

Il a constaté, au fil du temps, une baisse importante du nombre d'oiseaux percutés par des véhicules.

Ce constat a poussé les scientifiques à se demander si les oiseaux morts ne présentaient pas des caractéristiques particulières.

Effectivement, les chercheurs ont constaté que les hirondelles mortes suite à une collision avec une voiture montraient une envergure d'ailes bien plus importante que les autres, décédées accidentellement d'une autre manière et sur la même période.

L'équipe a émis l'hypothèse que les oiseaux avec la plus grande envergure avaient plus de mal à changer de direction rapidement et à réaliser des décollages verticaux.  Ils seraient alors plus vulnérables aux collisions car ils seraient plus lents à réagir.

D'après les chercheurs, les hirondelles auraient une évolution au cours des trente dernières années qui aurait sélectionné les oiseaux aux ailes plus courtes, plus doués pour manœuvrer.

 

Néanmoins, il est aussi possible que les oiseaux aient appris eux-mêmes à éviter les voitures.  De plus, selon d’autres chercheurs, l'échantillon est trop petit et incomplet, et on ne peut pas en tirer de conclusions valables.

Des observations montrent que certains animaux peuvent s'adapter rapidement aux environnements urbanisés.

Ces espèces d'hirondelles se sont peut-être habituées à un trafic de plus en plus important du fait de leurs lieux de vie.

Il est donc difficile de tirer des conclusions pour d'autres espèces animales, qui se tiennent elles plus à distance du trafic et y sont donc moins habituées.

 

La question reste donc ouverte.

 

En savoir plus, je vous suggère de consulter le site de Maxisciences.: http://www.maxisciences.com/oiseau/certains-oiseaux-ont-il-evolue-pour-eviter-les-collisions-avec-les-voitures_art28955.html

For english speaking people, please, consult the website :(http://www.cell.com/current-biology/fulltext/S0960-9822(13)00194-2)

 

Texte publié par Émeline Ferard, le 19 mars 2013

Copyright © Gentside Découvertes (texte adapté avec leur autorisation).

 

Jacques

Le 2 octobre 2013

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02/10/2013
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Le frelon asiatique, la Bondrée et le soufre

Le frelon asiatique, la Bondrée et le soufre

 

Venu d’Asie, le frelon asiatique fait des ravages chez les abeilles.  Un rapace, la bondrée apivore, s’attaque à ce dangereux hyménoptère, mais c’est insuffisant pour éradiquer les frelons.

En revanche, le dioxyde de soufre, toléré puis interdit en mai dernier, sera prochainement autorisé en France pour détruire ces frelons.

 

 

Le Frelon asiatique (Vespa velutina), ou Frelon à pattes jaunes est un hyménoptère de la famille des Vespidae (comme les Guêpes).  Il nous provient d’Asie.  Le Frelon asiatique se reconnaît à son corps sombre et à ses pattes aux extrémités jaunes.  Il est plus petit que le Frelon d'Europe (Vespa crabro).  Son régime est composé de fruits et de nectar, mais pour nourrir ses larves, il préfère chasser différents insectes, dont les Abeilles mellifères (Apis mellifera).  Les populations de Frelons s'étendent en France depuis quelques années.

 

Toujours en France, le Frelon asiatique a un ennemi, en l’occurrence un rapace diurne, la Bondrée apivore (Pernis apivorus).

La Bondrée apivore, un rapace ressemblant beaucoup à la Buse variable (Buteo buteo), mais elle se nourrit d'insectes.  Elle s'attaque notamment aux énormes nids de Frelons asiatiques.

A l’opposé de la Buse, les plumes de la Bondrée sont toutes petites, formant presque des écailles, ce qui la protège des piqûres.  Ce rapace sait repérer les nids enterrés ou perchés dans les arbres.

Les nids de Frelons asiatiques sont gros et bien visibles. Mais l’apparition de cet insecte en France est récente et peut-être faut-il un temps d’apprentissage à la Bondrée apivore pour qu’elle s’y intéresse.

En France, l’effectif des Bondrées se situe entre 10.000 et 15.000 individus (source LPO) mais est migrateur.  Il quitte le pays vers la mi-août.  La Bondrée pourrait réguler la population de frelons, mais certainement pas exterminer l’espèce.

 

Pour lutter contre les frelons, il reste le dioxyde de soufre (SO2).  On a constaté que cet oxyde est une arme de destruction massive contre les Frelons asiatiques.

Ce produit est utilisé en viticulture, depuis longtemps, pour désinfecter les cuves de vin.  Les apiculteurs , eux, s’en servent pour détruire des nids de frelons en approchant une bonbonne de gaz fixée sur une perche pour injecter le dioxyde de soufre à l’intérieur.  La détente brutale du SO2 produit un froid intense, fatal aux insectes.  Il existe d’autres méthodes, consistant à installer des pièges ou des appâts, mais la technique du soufre est la seule capable de détruire un nid entier.

 

Le SO2 était toléré jusqu’en mai 2013, puis il est tombé sous le coup d’une interdiction.  Récemment, à la demande de certains députés du Sud-Ouest l'ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail) a rendu un avis favorable à son autorisation.  L’avis de l’ANSES affirme que le dioxyde de soufre est une technique efficace de lutte contre le frelon asiatique, et que les impacts sur l'environnement seraient très limités comparés aux autres techniques de lutte chimique.  En clair, l’interdiction du SO2 risquerait surtout d’inciter à utiliser des insecticides  plus nocifs.

Les élus français ont donc appelé le gouvernement français pour qu’il autorise l’usage du dioxyde de soufre, en soulignant que la mesure est urgente, pour éviter que le frelon continue à se propager.

Le Gouvernement français a pris un arrêté qui a été publié au Journal Officiel le 7 septembre autorisant l’utilisation du SO2 pour une période limitée de 120 jours, à savoir jusqu’au 5 janvier 2014.  Cette dérogation temporaire est accompagnée d'un encadrement strict et ouvre la porte à une autorisation permanente.

 

 

Sources :

(Jean-Luc Goudet, Futura-Sciences)

et

(Michel, Univers-Nature)

 

Je vous invite à aller sur les deux sites pour des renseignements complémentaires.

 

http://www.futura-sciences.com/magazines/environnement/infos/actu/d/developpement-durable-frelon-asiatique-rapace-soufre-48524/#xtor=EPR-17-%5BQUOTIDIENNE%5D-20130828-%5BACTU-Contre-le-frelon-asiatique-:-le-rapace--et-le-soufre%5D

 

 

http://www.univers-nature.com/actualite/agriculture-chasse/ca-sent-le-soufre-pour-le-frelon-asiatique-64342.html

 

 

 

 

 

Remarque personnelle

Le dioxyde de soufre est un gaz hautement toxique et peut causer des brûlures aux voies respiratoires.  De plus, comme le dioxyde de carbone, il favorise le réchauffement planétaire.  Mais, par ailleurs, nous devons absolument protéger les populations d’Abeilles mellifères, qui souffrent déjà beaucoup des pesticides et insecticides épandus sur les cultures.

 

 

Jacques

Revu le 13 septembre 2013

 


02/09/2013
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